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3e édition de l’Observatoire des startups, PME et ETI industrielles françaises

La troisième édition de l’Observatoire annuel des startups, PME et ETI industrielles françaises de Bpifrance, publiée en mars 2025, révèle la résilience du secteur industriel français. En 2024, 115 sites industriels ont été inaugurés par des startups, PME et ETI industriels françaises. 


En 2024, la France comptait plus de 3 200 startups industrielles, un chiffre en forte hausse par rapport à l’année précédente. Ces entreprises ont généré plus de 65 000 emplois et levé 2,8 milliards d’euros, représentant 36 % des levées de fonds de la French Tech, selon la 3e édition de l’Observatoire des startups, PME et ETI industrielles françaises, publié annuellement par Bpifrance. 

Investir dans l’industrialisation à grande échelle 

En termes de vitalité, il existe une diversité sectorielle marquante. Quels sont les secteurs les plus dynamiques ?

  • l’industrie verte (21 %)
  • la santé (19 %)
  •  l’agriculture et l’agroalimentaire (13 %) avec une forte présence de ces startups en dehors de l’Île-de-France

Mais aussi : les biens de consommation et d’équipements (14 %),  l’industrie 4.0 et l’électronique (12 %), les énergies (11 %), la mobilité et les transports (10 %).

115 sites industriels inaugurés en 2024

En matière d’infrastructures, 115 nouveaux sites industriels ont été inaugurés en 2024, dont 38 par des startups et 77 par des PME et ETI. Ces nouvelles installations témoignent de la volonté des entreprises d’investir dans l’industrialisation à grande échelle, avec des projets aussi variés que des usines de production ou des lignes pilotes.

Les usines inaugurées par les PME et ETI se distinguent par leur innovation, utilisant les dernières technologies pour robotiser et digitaliser leurs lignes de production. Cela permet d’améliorer la compétitivité, le bien-être des salariés et l’optimisation des flux d’énergie et de ressources, complète l’Observatoire de Bpifrance. 

En tant que soutien clé, Bpifrance a financé cette dynamique avec 3,7 milliards d’euros, dont près d’un milliard destiné spécifiquement aux startups et PME industrielles. L’institution a également investi 366 millions d’euros en fonds propres, consolidant son rôle central dans le soutien à l’innovation et à la réindustrialisation.

Pour en savoir plus, retrouvez le communiqué de presse, ICI.

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