L’expert en performance des industriels français Dillygence a décidé de favoriser les échanges entre les directeurs industriels, d’usines ou des opérations industrielles, via un réseau de discussion, d’entraide et d’organisation de mini-masterclass. 

« Les industriels ont très peu de temps disponible, et sont souvent confrontés à des problèmes que d’autres ont déjà eu, mais auquel ils n’ont pas nécessairement accès », contextualise Gaëlle Jaron, directrice du Business Development chez Dillygence. L’entreprise experte en accompagnement d’entreprises industrielles dans leur montée en performance a lancé récemment le premier réseau national d’échanges destiné aux directeurs industriels, animé pour et par ces derniers.

Une plateforme d’échange et de soutien en croissance

Constituer une communauté de directeurs industriels, d’usines ou des opérations industrielles sur le territoire français, c’est l’idée de départ de Dillygence pour créer sa plateforme d’échange. « Nous avons créé un réseau social gratuit, qui ressemble à WhatsApp, mais qui est mieux structuré pour permettre aux directeurs de poser leurs questions et d’obtenir des réponses très simplement », explique Gaëlle Jaron. Quelle que soit la taille des entreprises ou leur secteur, les directeurs sont invités à partager leurs conseils, problématiques, découvertes, bonnes pratiques, erreurs commises, etc. Le nom de ce réseau ? Le Cercle MI, une référence au prestigieux Massachusetts Institute of Technology américain, mais qui signifie en réalité ‘Manufacturing Intelligence Together’ (ou produire ensemble du savoir, en français). Dillygence vise pour commencer un regroupement de 100 à 150 directeurs pour s’assurer de la pertinence des échanges. « Pour le moment nous comptons parmi nos membres l’expert en objets connectés Altyor et le spécialiste de la robotique industrielle Exotec, parmi d’autres. » 

Aujourd’hui modérateur du mouvement, l’entreprise espère une structuration différente pour la suite : « Pour le moment, nous développons le réseau, mais à terme, nous aimerions donner l’opportunité aux directeurs d’être force de proposition et d’actions au sein du Cercle. »  

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Des mini masterclass régulières et gratuites, autour de problématiques industrielles

Dillygence propose à cette même communauté de directeurs des mini masterclass gratuites, dans un format de 30 minutes, qui apportent aux concernés des réponses sur des sujets de réflexion préalablement choisis, tels que l’usine du futur, l’excellence opérationnelle, la data… prodiguées par des paires bénévoles. « Nous avons plein d’idées de thèmes pour ces mini masterclass, et cherchons continuellement des volontaires pour intervenir ! » s’enthousiasme Gaëlle Jaron. Après une première session lancée en février 2024, Dillygence vise l’organisation d’une masterclass par trimestre, puis par mois. « D’autres ressources viendront progressivement enrichir le contenu de la plateforme dédiée, des guides, des partages d’échecs, des sources d’informations… et tant d’autres !  »

Voici le replay d’une masterclass : Comment une PME évalue-t-elle et monitore-t-elle sa performance industrielle ?

Dillygence, une société au service des industriels

Dillygence accompagne les entreprises hybridant ses expertises métiers et sa technologie de jumelage numérique des systèmes de production, 100% développée en interne, pour délivrer les résultats ambitieux de ses clients. L’ensemble des actions menées s’inscrivent – in fine – dans la maximisation de la productivité au m2 et dans l’accélération du « time-to-market » industriel. La société accompagne les industriels sur l’ensemble du cycle de leur production, du design d’un nouvel outil, en passant par la montée en cadence, à l’optimisation de son exploitation industrielle… « Nous intervenons aussi bien auprès d’une PME industrielle qui veut se transformer sans savoir par quel bout commencer, qu’un industriel bien établi, voire une grande entreprise qui souhaite reconfigurer sa production, raccourcir sa montée en cadence, travailler ses coûts opérationnels ou les émissions carbones industrielles », conclut Gaëlle Jaron.